L'installation du Centre de tri d'Havré, n'a jamais été appréciée, ni voulue par les riverains : en cause les odeurs qu'ils prévoyaient et qu'ils subissent maintenant : régulièrement, parmi d'autres nuisances... le monde politique l'a imposé, envers et contre tous, les différents partenaires et gestionnaires n'ont jamais réussi à faire fonctionner correctement ce machin. |
date | ce qui a fait actualité | |||||||||||||
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juillet
2013 |
Le Ministre HENRY a validé le permis unique ==> « ECOTHON » : le compte-à-rebours a commencé ! | |||||||||||||
Mai
2013 |
50 minutes pour convaincre - le CCAT change d'avis ==> Carnet de voyages du Comité de Défense des Bruyères => 16 étapes - Lettre ouverte d'Éric Dubois |
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Mars
2013 |
lancement de l'opération ==> « ECOTHON » - le point sur l'opération Réunion publique du jeudi 7 mars, l'annonce - Résumé de la Réunion publique 7/03/2103 communiqué de presse , on en parle dans la Province - sur le blog Havré Obourg Saint-Denis Le permis Unique : les recours des Riverains, d'HYGEA ! |
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Février
Janvier 2013 |
Ville de Mons : le PU, la décision
(Procédure pour envoyer un recours, c'est terminé)
Courrier : le dysfonctionnement du ramassage des poubelles
le PU, ce qu'en disent les comités - Écopole : le Collège donne son avis ! - le PU ou permis unique préalable et sous conditions |
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15/10 2012 |
"Le CWEDD rend son avis, le Comité des Bruyères critique !" novembre 2012 Le CWEDD rend son avis, le Comité des Bruyères critique !
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12/09 2012 |
Courriers des comités en réponse à l'enquête publique Septembre 2012 lettre envoyée au Collège et Bourgmestre de la ville de Mons
Monsieur le Bourgmestre,
Après analyse de l’étude d’incidences, notre conclusion est que le projet d’HYGEA appelé « ECOPÔlE », s’il est développé sur le site dit du « Champ de Ghislage », aura un impact catastrophique sur le bien-être des riverains. Rappelons que l’étude d’incidences de 1995 pour le projet « ITRADEC » faisait déjà état de 760 habitants dans un rayon de 500 mètres autour de l’usine. Cette population n’a, pour le moins, pas diminué mais la nouvelle étude d’incidences s’est limitée à recenser les riverains à seulement 100 mètres du projet. Nous dénonçons là une première tentative de minimiser les nuisances subies. Nous regrettons également qu’une analyse des risques concernant l’unité de bio-méthanisation n’apparaisse pas dans l’étude. Nous avons transmis à l’auteur un rapport sur le danger d’explosivité de ce type d’installation. Elle figure dans les annexes de l’étude. En 1999, Didier Donfut, alors porteur du projet et Président de l’Intercommunale ITRADEC a assuré à plusieurs reprises aux riverains du site qu’ils n’auraient à subir « Ni bruit, ni odeurs, ni fumées ». Cette usine n’a jamais fonctionné correctement et son process fut un échec. Pour rappel, en 2006, 77% des ordures collectées et triées terminaient en décharge. Quant aux nuisances, elles furent régulières et insupportables au point de devoir se calfeutrer dans les maisons la plupart du temps. Une autre promesse fut qu’aucun déchet ne serait stocké à l’extérieur des bâtiments et c’est en catimini que les responsables de l’usine demandèrent un permis pour construire une dalle extérieure afin de les y entreposer à l’air libre. Aujourd’hui, à part le triage qui n’existera plus, il est prévu de rassembler l’ensemble des ordures collectées dans un bâtiment identique au centre de tri. Les auteurs de l’étude d’incidences conseillent de mettre le bâtiment en dépression, de faire passer l’air dans des bio-filtres et d’y associer une turbine d’éolage via une cheminée de sept à douze mètres de haut ! C’est oublier un peu vite que toutes ces techniques ont déjà été réalisées dans le premier projet d’ITRADEC et qu’elles n’ont eu aucune influence sur les odeurs pestilentielles qui se répandaient aux alentours. La seule petite différence réside dans le fait que l’on y ajoute une station de lavage des fumées. En définitive, rien ni personne ne peut affirmer que les nuisances subies par les riverains ne se reproduiront plus ! Mais le nouveau projet ne vise pas uniquement à refaire ce qui se faisait du temps d’ITRADEC. Ce nouveau projet prévoit de multiplier les sources potentielles de nuisances en y ajoutant entre autres, la filière FOST+, le dépôt de l’ensemble des camions et véhicules de la filière, un garage atelier, une station-service, une unité de lavage des fumées et une unité de broyage des déchets encombrants ! Les habitants du quartier des Bruyères sont aujourd'hui victimes d'une accumulation de nuisances. En effet, ils sont cernés d'un côté par les cimenteries, les carrières et bientôt le traitement des boues de dragages, de l'autre par le centre de tri, subissant une série d’agressions dans leur environnement. De plus, le quartier est traversé de nombreuses fois par jour par une noria de camions bruyants et polluants empruntant les autoroutes et la très dangereuse route industrielle. Si le centre de tri doit devenir un écopôle, va-t-on encore nous accabler davantage ? Peut-on accepter que les mêmes personnes doivent assumer tout cela ? Ne peut-on pas partager les nuisances ? Ne peut-on pas, une fois pour toutes, inscrire comme critère prioritaire du choix d'un site l'absence d'habitants dans un rayon de 500 m ? D'autant plus que la centralité du site d'Havré est loin d'être démontrée et que le terrain est trop petit pour un écopôle..." Par le dépôt d’un projet alternatif en 1996, notre comité avait entrepris une démarche citoyenne. Par la manipulation (saucissonnage du projet) et par le mensonge (fausse déclaration du président de l’IDEA concernant l’option d’une société américaine sur le terrain préconisé dans le zoning nord), notre projet alternatif a été torpillé. Il nous a fallu introduire un recours au Conseil d’Etat et obtenir gain de cause devant cette haute autorité administrative. Cette usine qui a coûté deux fois le prix annoncé a été un fiasco total et un gâchis financier. Alors que Napoléon, par décret de novembre 1810, a exigé d’éloigner des quartiers d’habitations toutes les manufactures provoquant des odeurs nauséabondes, il se trouve, deux-cents ans plus tard, des responsables politiques pour vouloir imposer une usine à déchets au centre de trois quartiers d’habitations déjà défiguré par ses multiples transformations. Enfin, nous prétendons que ce terrain est trop petit et qu’il devra être étendu à l’avenir par d’autres unités de recyclage, au fur et à mesure que la technologie le permettra. Ceci pour rencontrer les objectifs du Plan Wallon des Déchets et dans l’esprit du développement durable. Il faut donc profiter qu’aucun denier public n’a encore été investi dans le projet HYGEA pour prendre la bonne décision sur l’implantation du site. Nous vous demandons dès lors de ne pas appuyer ce projet « Ecopôle » sur le Champ de Ghislage et de demander à l’Intercommunale IDEA de proposer un site alternatif dans le zoning de Ghlin-Baudour.
Nous sommes bien conscients que des fautes graves ont été commises dans le projet ITRADEC mais
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04/06 2012 |
Cette réunion aura pour but :
Nous vous rappelons que le Comité de Vigilance est ouvert à tous les riverains de l’usine HYGEA
(ITRADEC), qu’il a été créé pour permettre une plus large représentativité de riverains afin d’aider le Comité d’Accompagnement dans sa mission.
Pour info, les prochaines réunions du Comité d’Accompagnement se dérouleront les 18 juin, 24 septembre et 17 décembre prochains.
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24/05 2012 |
Résumé de la réunion du 24 mai 2012 chez HYGEA On a bien senti que Madame Brunelle, nouvelle directrice de l’intercommunale mixte désormais nommée HYGEA, voulait bien faire les choses en organisant cette réunion intermédiaire, non obligatoire à ce stade de la procédure. Son objectif était de tenter d’établir un climat de transparence et de confiance avec les riverains. Nous ne mettons pas en doute sa sincérité mais force est de constater qu’elle n’y est pas parvenue et qu’elle n’y arrivera probablement pas tant le passif d’ITRADEC est désastreux envers les riverains du site. Un petit constat de départ : l’usine avait été nettoyée. Pas un sac d’ordure visible autour du site. Pas un papier sur les jolies pelouses fraîchement tondues. Il est clair que cela tranche radicalement avec l’image que les riverains peuvent voir habituellement depuis quelques années. Étaient présents à cette réunion des représentants d’HYGEA, du bureau d’études ARCEA, de la CCAT (Commission consultative d’Aménagement du Territoire), du Comité d’accompagnement, du Comité de Défense des Bruyères, des riverains et Monsieur Hambye, conseiller communal de Mons. Enfin, monsieur Germaux, de Espace Environnement, qui assura le bon déroulement de la réunion. Après une brève présentation, le bureau d’études ARCEA livrait le fruit de son travail aux riverains.
D’autres sujets ont aussi été abordés comme
Enfin, Jean Liénard a conclu en dénonçant, exemple à l’appui, le détournement de démocratie que permet la mise en œuvre des Permis d’exploiter. En effet, le Permis d’exploiter délivré initialement à ITRADEC en janvier 1999 fut, dès janvier 2003, modifié afin de permettre le stockage de déchets ménagers à l’air libre sur le site de l’entreprise, en contradiction avec tous les engagements et promesses précédentes. Modification apportée en totale opacité et sans aucune consultation ni informations des riverains concernés. Aujourd’hui, ni la loi ni les pratiques n’ont changés ! Dès lors, cette procédure est toujours légalement possible.
La seule bonne nouvelle pour les riverains sera donc venue du président de la CCAT qui a très clairement indiqué aux dirigeants d’HYGEA qu’à partir du 01 janvier 2013, plus aucun déchet ne pourra être stocké à l’extérieur. Le Comité de Défense des Bruyères invitation d'HYGEA à la réunion intermédiaire d’information du 24 mai 2012 Madame, Monsieur, Nous avons le plaisir de vous inviter à la réunion intermédiaire d’information. Cette réunion n’a rien d’obligatoire : La direction d’HYGEA a désiré qu’elle se tienne dans un souci de transparence et d’information. Elle a demandé à Espace Environnement de l’organiser et d’en être le modérateur. Ce sera l’occasion pour l’auteur d’étude d’incidences et l’auteur de projet d’apporter des réponses aux questions posées lors de la RIP et lors de la visite à Calais et de présenter le projet modifié suivant les recommandations des auteurs d’étude. Cette réunion d’information se tiendra donc avant le dépôt de la demande du permis unique par HYGEA et l’ouverture de l’enquête publique. C’est lors de celle-ci que vous pourrez donner votre avis sur le projet final. Cette réunion intermédiaire était prévue vers le 15 février 2012. Les études ont pris plus de temps que prévu, les modifications apportées au projet suite à la réflexion ont été nombreuses. Sont invités à cette réunion, les participants à la RIP, les participants à la visite à Calais et les riverains membres du comité d’accompagnement. Cette réunion se tiendra le 24 mai à 19 h sur le site d’HYGEA à Havré. Vous pouvez demander tout renseignement complémentaire à
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16/05 2012 |
reunion citoyenne du 16 mai à Havré, en présence de Monsieur Elio Di Rupo Au nom du Comité de Défense des Bruyères, Eric Dubois est intervenu lors de la réunion citoyenne organisée par
Monsieur le Bourgmestre,
Il y a 15 ans, un homme politique, qui s’était auto-proclamé « expert en environnement», mais qui s’est en fait révélé n’être qu’un menteur et un tricheur, a eu l’idée d’implanter une usine de traitement des déchets non-loin d’ici, en affirmant aux 760 riverains situés dans un rayon de 500m de cette usine qu’ils n’auraient à subir « ni bruits, ni odeurs, ni fumées ». Cette usine a finalement été construite, au mépris du bien-être de ces riverains, au mépris du projet alternatif citoyen que notre comité de Défense avait déposé et qui a été torpillé par l’IDEA et finalement au mépris de la loi puisque après l’auteur de l’étude d’incidence, après l’avis du CWEDD, c’est le Conseil d’Etat qui nous a finalement donné raison contre Itradec. Je parlais du « scandale Itradec » parce que, au 21ième siècle, en tant que citoyen, j’estime que c’est un scandale d’avoir gaspillé 40 millions d’euros de finances publiques dans une usine qui, en finalité, n’a jamais fonctionné ! Son objectif était de ne plus envoyer de déchets en décharge ou en incinérateur et, avant de prendre feu, le bilan annuel révélait que 80% des déchets triés finissaient quand-même en décharge. De plus, elle ne devait coûter que 20 millions d’euros et, à force de ne pas fonctionner, elle a coûté 40 millions. Mais le plus grand scandale de ce projet n’est pas financier ! Non, le plus grand scandale c’est d’avoir osé le placer au cœur des hameaux de Ghislage et du Congo au mépris de la qualité de vie et de la santé des nombreux habitants du coin (je vous le rappelle 760 habitants à l’époque dans un rayon de 500m) ! Le plus grand scandale est donc humain car ces riverains subissent, depuis 12 ans, les odeurs pestilentielles que génère inéluctablement le traitement de 120.000 tonnes de déchets. J’ai retrouvé un décret de Napoléon 1er, qui date du 15 octobre 1810, et qui « oblige d’éloigner les manufactures aux odeurs nauséabondes ou insalubres des quartiers d’habitations ». Comment imaginer que 200 ans plus tard, des responsables politiques vont encore bafouer le droit élémentaire de chaque citoyen qui est de pouvoir vivre dans un environnement sain ? Et bien aujourd’hui, en 2012, il y en a encore qui vont oser puisqu’au même endroit, toujours au milieu de ces mêmes habitants, on est en train de nous concocter un projet ITRADEC bis ou ITRADEC au carré puisque en plus de faire transiter les 120.000 tonnes de déchets en les laissant à ciel ouvert, on va, entre autres, broyer des encombrants en prétendant qu’il n’y aura pas de bruit supplémentaire ! C’est donc un nouveau scandale en préparation ! Ce sera un nouveau scandale humain parce que cela créera encore plus de nuisances pour les populations riveraines qui ne savent déjà plus vivre de façon décente chez eux ! Ce sera un scandale financier parce que le nouveau projet fait déjà apparaître des inepties techniques qui ne trouveront pas de solutions, à commencer par le compostage qui ne respectera pas les nouvelles normes européennes et qui donc, ne pourra légalement pas être étalé sur les champs. Ce sera aussi un scandale politique car, outre le fait que le coût de la gestion des déchets va subir une augmentation encore insoupçonnée aujourd’hui, on va encore investir des sommes folles dans des procédés obsolètes ou technologiquement hasardeux, et qui ne sont en rien une avancée technologique et écologique. Et ce sera enfin un scandale écologique car pour nous, l’incinération n’est plus une solution acceptable en 2012. Monsieur le Bourgmestre, Il est temps que les responsables politiques, à commencer par vous, s’occupent sérieusement de ce dossier. Pourquoi à commencer par vous ? Nous savons tous que vous êtes très occupé mais vous êtes aussi le premier responsable de la Ville et aussi parce que notre Comité a déjà négocié avec vous dans un autre dossier (la rue des Bruyères à Obourg). Vous aviez alors balayé ce qui avait été imposé de force par votre prédécesseur pour arriver à un nouveau compromis qui cette fois, a donné satisfaction à la Ville, aux Ciments d’Obourg et à la population. Notre Comité souhaite donc que vous interveniez personnellement dans ce dossier. Notre comité a des propositions citoyennes à faire mais personne ne nous écoute, à commencer par les responsables de l’IDEA, qui torpillent à chaque fois, de façon malhonnête, toutes nos propositions. On nous a accusé de faire du NIMBY alors que nous, nous disons que ces usines, il ne faut les installer nulle part où il y a des populations riveraines et qu’il y a de la place ailleurs puisque 800 Ha restent libres dans le zoning de Ghlin-Baudour, à cinq minutes d’ici ! Enfin, et j’en terminerai par-là, vous devez savoir que nous sommes bien organisés et que notre objectif est que les riverains retrouvent le bien-être auquel chaque citoyen a droit. Si Hygea, donc l’IDEA persiste à développer ses activités au champ de Ghislage, notre comité utilisera toutes les voies de droit pour bloquer le plus longtemps possible leur développement nuisible. Ne trouvez-vous pas, Monsieur le Bourgmestre, qu’il soit temps que l’on replace l’humain au centre de ce dossier ? Je vous remercie de m’avoir écouté.
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14/05 2012 |
Madame, Monsieur, De notre côté, nous sommes récemment entrés en contact avec une association française de citoyens qui se trouvent dans une situation similaire à la nôtre. Ils sont confrontés au projet d’une entreprise de traitement de déchets ménagers comprenant une unité de biométhanisation. Cette association nous a remis un document réalisé par un bureau d’études et de conseil en écologie, le bureau HORIZONS. Il s’agit d’une note qui recense des incidents et accidents survenus entre 1990 et 2011 dans des installations qui produisent du biogaz. Ils se sont produits dans différents types d’industries, notamment dans des unités de traitement d’eaux usées, également dans des papeteries, des entreprises agricoles, et aussi dans des centres de traitement d’ordures ménagères. Pour tous ces événements, le lieu et la date de l’accident sont fournis avec précision. Il nous semble nécessaire de prendre en compte l’existence de tels risques dans le cadre des activités visées dans la demande de permis introduite par HYGEA. Nous vous prions de trouver, ci-joint, copie de ce document afin de pouvoir, éventuellement, intégrer ces informations dans le cadre de l’étude que vous réalisez actuellement. Et à partir de ces références, examiner de manière approfondie les causes de ces événements. Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’assurance de notre considération distinguée
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1999 |
directives Européennes du 26 avril 1999, une obligation de révaloriser les déchets
pour éviter la mise en décharge pour les états membres, d'ou l'idée de créer Un centre de tri mécanique des poubelles dans la région de Mons et du Centre |